Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover Diaper girl / Little girl
il y a 7 ans
Le plaisir caché
Linda venait de finir ses études de secrétariat. Cette belle jeune fille de 23 ans aux longs cheveux blonds était à présent à la recherche de son premier emploi. Cela ne fut pas si dur à trouver compte tenu du charme que dégageait la jeune fille. Elle fut en effet embauchée dans un cabinet médical en tant que secrétaire.
Son travail était peu passionnant : gérer les rendez vous des patients, aider le médecin à classer ses différents dossiers, taper les feuilles d'ordonnances. Mais cela ne l'empêchait pas d'être toujours aussi souriante et aimable envers les patients qui rentrent dans la salle d'attente.
Le problème c'est qu'elle restait la majeure partie de sa journée assise derrière son bureau de réception, à taper à l'ordinateur. Au bout de plusieurs semaines, elle en eu vite assez de rester immobile dans cette maudite salle d'attente, il fallait qu'elle bouge, elle ne pouvait plus rester en place. Hélas elle ne pouvait aller bien loin, et était donc obligée de prendre ce mal en patience.
Un jour en pleine après midi, alors que la salle d'attente était pleine à craquer, Linda fut pris d'une subite envie de bouger, elle ne voulait plus rester assise, mais elle s'y f o r ç a, principalement par rapport au contexte dans lequel elle se trouvait. Elle sentit alors tout d'un coup une curieuse chaleur lui envahir l'entre jambe. "Mais que se passe t-il ?" se demanda t'elle. Elle eu vite fait de comprendre qu'elle était en train de se faire pipi dessus. Cette prise de conscience soudaine arrêta net le liquide chaud de s'écouler encore un peu plus. Linda était catastrophée, elle vérifia tout de même avec sa main si ce qu'elle venait de ressentir s'était réellement déroulé. Elle glissa alors sa main entre ses fesses et son siège, et se rendit vite compte qu'elle n'avait pas rêver. Elle sortit sa main moite de sous ses fesses et l'approcha de son nez : "Ah ! Elle sent affreusement la pisse !" pensa-t-elle en silence.
Il fallait faire quelque chose, et vite, avant qu'un des patients de la salle d'attente s'aperçoive de quelque chose de louche. Linda reprit alors ses esprits, replaça ses petites lunettes rondes sur le bout de son nez, et fit comme si il ne s'était rien passé. La fin d'après midi fut très longue mais à priori aucun patient ne s'était aperçu de quoi que ce soit. De plus Linda était très mal assise sur son siège à moitié humide, plus l'après midi passait plus elle ressentait la désagréable froideur de sa culotte tachée de pipi.
A la fin de la journée, elle se leva d'un coup et alla avertir le docteur qu'elle partait de suite chez elle. Arrivée chez elle , Linda se dirigea alors dans sa salle de bain constater les dégâts. Ce n'était pas si catastrophique que ça en avait l'air, mais sa petite culotte était encore très humide, et elle ressentit tout de même de petites irritations au niveau de son entre jambe.
Durant la nuit qui succéda à cet incident, Linda eu beaucoup de mal à s'endormir. Elle n'arrêta pas de penser à ce qui s'était produit dans la journée. Elle ne comprenait pas pourquoi ça lui était arrivé, elle qui n'avait jamais eu de problèmes de ce genre jusqu'à aujourd'hui et même durant sa tendre jeunesse ? Finalement elle trouva le sommeil et se persuada que cela pouvait arriver à n'importe qui, à n'importe quel moment.
Le lendemain elle alla rejoindre son cabinet médical, et considérait déjà le petit problème de la veille comme de l'histoire ancienne.
En fin de matinée, alors qu'elle était en train de remplir une feuille de notes, elle sentit à nouveau une chaleur torride envahir sa culotte ! Elle arrêta aussitôt d'écrire, et elle comprit qu'elle venait de réitérer le scénario de la veille.
Cependant elle ressentit durant ce cours instant un curieux plaisir à être en contact avec ce liquide chaud qui s'écoule et qui se déverse dans sa culotte. Mais ce plaisir ne dura pas plus de cinq secondes, elle revint vite à la réalité et fut m o r t e de honte.
Heureusement, il n'y avait plus de patients dans la salle, elle s'échappa alors aux toilettes constater ses nouveaux dégâts. Linda était plus trempée que la veille, il fallait absolument qu'elle rentre chez elle se changer. Le docteur allait peut être trouvé ça louche de sa part, car elle ne quitte jamais le cabinet le midi. Tant pis, elle le devait absolument. Elle raconta une vieille histoire au docteur et elle pu rentrer chez elle, juste le temps de se changer.
Elle revint l'après midi avec une nouvelle jupe, déposa quelques mouchoirs en papier sur son siège qui était encore légèrement humide et se mit au travail. Cachée derrière ses lunettes, elle avait beaucoup de mal à rester concentrer à ses différentes tâches, elle ne comprenait pas ce qui s'était passé en l'espace de deux jours ? Et puis tout d'un coup sans y prêter attention, elle s'aperçu qu'elle était à nouveau en train de faire pipi dans sa culotte !
"Mais non, c'est impossible !" se dit-elle, "Je n'ai pourtant pas envie d'aller aux toilettes, c'est à n'y rien comprendre." Elle passa le reste de son après midi assise dans sa culotte légèrement détrempée, à méditer, et à chercher d'éventuels solutions à ce problème.
Arrivée le soir chez elle, elle décida de faire une expérience. Elle, qui n'avait pas envie de faire pipi, se mit alors sur ses toilettes en restant bien habillée, et essaya d'uriner. Mais rien ne sortait, elle f o r ç a alors un peu plus, et s'arrêta juste à temps avant que ce ne soit la grosse commission qui ne sorte. "C'était moins une !" se dit-elle, "un peu plus et j'avais un gros caca au fond de ma culotte." s'exclama t-elle, d'un air dégoûté. Elle resta un moment assise sur ses toilettes puis finalement se déshabilla et pris une douche.
Avant d'aller se coucher, elle alla aux toilettes et fit naturellement.
Elle se dirigea ensuite vers son lit. "Trois fois en deux jours, ce n'est pas normal." pensa t-elle. Et elle s'endormit en appréhendant le lendemain.
Après avoir pris son petit déjeuner et sa douche, Linda se retira dans sa chambre afin de s'habiller. Mais avant d'enfiler sa culotte, elle repensa à ce qui c'était passé les deux jours précédents et décida alors de faire quelque chose si cela se reproduisait aujourd'hui.
Afin de limiter les dégâts, au cas où, elle plaça alors une bonne grosse serviette hygiénique dans sa culotte. Linda qui détestait porter ce genre de protège-slip, s'en alla au boulot avec cette mini-couche à usage peu courant pour ce genre de problème.
Vers 10h00, alors qu'elle était en train de noter un rendez vous par téléphone, elle s'aperçut qu'elle était en train de remplir sa serviette hygiénique. Elle ne sut pas s'arrêter comme les autre jours, elle était en fait en train d'apprécier ce délicieux moment. Elle sentait son pipi se déverser dans son protége slip, qui absorbait petit à petit ce doux liquide chaud, puis revint tout à coup à la réalité, lorsque la personne au bout du téléphone l'interpella.
A partir de là, elle s'arrêta d'uriner. Après avoir raccroché et pris note du rendez vous, elle ferma les yeux, s'installa bien au fond de son siège, et goûtait alors un plaisir qu'elle n'avait jamais ressentit jusqu'à maintenant. La chaleur du pipi absorbé, lui caressait sa petite moule, sa serviette toute moelleuse, était toute confortable, elle était bien. Avec sa main droite, Linda était en train de compresser sa culotte, afin qu'elle ait plus de sensations au niveau de son bas ventre. Elle était à la limite de l'orgasme, quant un patient se présenta devant elle.
Linda devint toute rouge et eu du mal à reprendre ses esprits. Elle remis ses petites lunettes et répondit au patient.
A midi, quand plus aucun malade n'était dans la salle, Linda alla aux toilettes et constata que sa serviette n'avait pas tout absorbé. Sa petite chatte était affreusement mouillée, mais ce n'était pas de l'urine...
Heureusement, elle avait tout prévu, Linda avait apporté quelques autres serviettes Always dans son sac à main. Compte tenu de la matinée, elle en fixa deux dans sa culotte. Lorsqu'elle rejoignit sa place, elle sentait ses deux mini-couches très rapprochées de son corps.
En milieu d'après midi, alors qu'il ne s'était encore rein passé, elle sentit une envie de faire pipi, et là, contrairement aux autres jours, elle se laissa aller volontairement, tout en contrôlant le flux de ce liquide onctueux qui prenait place dans sa petite culotte toute protégée.
Elle savait que ses deux serviettes ne pouvaient tout contenir, elle s'arrêta alors à temps et commençait à apprécier le contenu de sa culotte. Mais en fin d'après midi, elle ressentit une douleur au ventre, elle ne pouvait se retenir plus longtemps et se laissa lamentablement aller. Là ce fut une vraie catastrophe, pourtant sur le moment Linda avait pris un plaisir immense à laisser dégouliner son précieux jus tout chaud.
En effet, en n'ayant pu se contrôler le siège sur lequel était assis Linda s'était transformé en éponge, tant bien que même quelques gouttes commençaient à se déverser sur le sol.
Il ne restait à ce moment là plus qu'une patiente d'une quarantaine d'année dans la salle. Linda était toute rouge, car là elle savait que n'importe qui pouvait se douter de quelque chose en la regardant. Linda ne bougeait plus, "Mais qu'est-ce qui m'a pris ?" se dit elle , elle avait tellement honte d'elle qu'elle se mit à pleurer, tel un bébé qui vient de faire dans ses couches.
La patiente s'approcha alors de la secrétaire en pleurs, et il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre la raison de ces larmes. Elle ôta les lunettes de Linda et lui proposa un mouchoir pour sécher ses larmes, puis lui dit tout doucement :
-
"Ce n'est pas grave, moi aussi cela m'arrive, et peut être bien plus que vous, d'ailleurs c'est pour cela que je viens consulter régulièrement ce médecin." A ces mots Linda releva la tête et rétorqua un "Ha bon ?.
-
"Oui," dit la patiente, "c'est une maladie fréquente chez les femmes de mon âge, il n'y a pas vraiment de solutions miracles, mais il existe des couches pour adultes très discrètes qui permettent de rendre ce handicap très vivable, tenez, vous n'avez qu'à regarder."
La patiente souleva alors sa longue jupe, pour laisser apparaître au dessus de ses cuisses une couche bien camouflée par l'effet de ses collants.
- "Vous voyiez, je suis sûre que vous ne vous doutiez même pas que je portais une couche alors que j'ai le même problème que vous, allez ne restez pas comme ça, allez au moins vous changez." dit la patiente.
Linda se leva difficilement de son siège, sa jupe était très mouillée. Elle se dirigea lentement vers les toilettes, elle marchait avec les jambes légèrement écartées. Arrivée aux toilettes elle jeta ses grosses serviettes allways toutes lourdes. Elles ont tout de même bien absorbé le pipi, à tel point qu'on aurait pu les assimiler à des éponges gorgées de pisse. La jeune secrétaire resta un moment seule assise sur son trône, elle repensa à ce que lui avait dit la patiente. Pour cette bonne femme, il semble que faire pipi sans se contrôler est un sérieux handicap, alors que pour Linda il semblerait que cela lui procure un certain plaisir jusque-là inconnu.
Elle revint dans la salle d'attente, la femme à la couche n'était plus là.
Sur son bureau elle trouva un petit mot :
- "Vous devriez acheter des couches pour adultes, on en trouve aussi bien en pharmacie qu'en grandes surfaces. Courage."
A la fin de sa journée, avant de rentrer chez elle, elle passa par une pharmacie. Elle hésita un moment à entrer à l'intérieur car elle vit qu'il y avait pas mal de monde. Mais elle fut poussée par un désir soudain d'acheter ces fameuses couches et elle franchit la porte sans se poser de questions.
Arrivée devant la vendeuse, elle prit son courage à deux mains et demanda s'il y avait des couches pour incontinence adulte. La vendeuse lui sortit alors différentes marques et lui demanda pour quelle genre d'incontinence :
- "Faible, modérée, élevée ?" Linda lui répondu élevée sans discuter. La vendeuse lui proposa alors un paquet de change complet Tena. Linda en acheta deux et emporta ses deux paquets . En sortant de la pharmacie, elle avait le coeur qui battait très vite, et sentait que tout le monde la regardait. "Mais qu'est-ce que je suis en train de faire ?" pensa-t-elle.
Arrivée chez elle, elle déballa un paquet de couches et en apporta une à son visage, elle se caressait avec, elle trouvait cela très doux et très mou.
Puis sans tarder elle enleva sa jupe et baissa sa culotte encore mouillée de l'après midi et se langea sans trop de difficultés grâce aux adhésifs. Elle resta immobile au milieu de la pièce et voulu connaître toute suite la sensation de faire pipi dans une couche. Elle f o r ç a , mais pas une goutte ne voulu sortir, elle fit plusieurs tentatives mais sa vessie ne voulait rien savoir, elle n'arrivait pas à se décontracter. Elle décida alors de garder la couche et de se préparer à manger. "Je verrai cela après le repas." se dit-elle.
Mais même deux heures après il lui était impossible d'uriner dans sa couche. Elle fut alors très déçue et alla se coucher toujours vêtue de la sorte. Le lendemain matin, Linda se réveilla très étonnée, elle ne pensait pas qu'un jour elle dormirait avec une couche, surtout à 23 ans !
Elle constata qu'elle était toujours au sec et malgré une envie certaine de pisser, elle préféra enlever sa couche, et aller naturellement aux toilettes. Elle n'avait pas envie au réveil de retrouver les étranges sensations de la veille avec ses protèges-slip, mais elle décida tout de même de se rendre au travail bien langée. Le problème pour l'habillement fut vite réglé, une jupe longue, une paire de collants et le tour est joué. "Malgré un derrière un peu plus rebondi que d'habitude, personne ne sera capable de s'apercevoir que je porte une couche." pensa-t-elle.
Elle dut tout de même adopter une démarche moins décontractée que d'habitude, car elle sentait la gêne occasionnée par la couche. Au travail, elle ne pensait qu'à cela, elle avait encore du mal à réaliser qu'elle portait un change complet comme les bébés et n'arrêtait pas de se dire : "Je suis complètement folle".
En fin de matinée alors qu'elle recherchait ses lunettes, elle sentit tout d'un coup une chaleur lui envahir l'entre jambe, puis le bas ventre et enfin le derrière. "C'était exquis," pensa-elle, « ça y est, j'ai fait pipi dans une couche-culotte et je me sens merveilleusement bien !" Elle resta un long moment assise sur sa chaise, ou plutôt dans sa couche devenue alors très confortable. Elle remuait lentement son bassin afin que toutes les parties de son corps en contact avec la couche mouillée puissent ressentir la sensation agréable de se frotter avec ce revêtement chaud et humide. Linda était aux anges !
La fin de matinée se passa alors très vite, jusqu'au moment où Linda pris conscience de ce qu'elle avait fait et dans quelle situation elle se trouvait actuellement. Elle fut en fait très embarrassée et attendait au plus vite un moment pour aller se changer. A midi elle courru aux toilettes, dévêtit sa couche qui était devenue très lourde, et la jeta à la poubelle. "Mais qu'est-ce qui m'arrive ?" se dit-elle, "J'ai honte de ce que je fais !" Mais une envie soudaine la repris : il fallait qu'elle remette une couche absolument, elle en prit alors une autre dans son sac, la déplia et se la fixa. Non pas qu'elle eu envie de faire pipi, mais juste par le fait de se dire qu'elle porte une couche et qu'elle se sent bien avec.
Elle retourna travailler l'après midi, toujours avec la couche bien en place. Puis tout d'un coup il lui vint l'idée de retrouver ses agréables sensations de la matinée. Elle poussa alors un peu, mais sa vessie ne voulait pas laisser écouler son précieux liquide. Elle poussa alors un peu plus, puis si fort qu'un gros caca fini par sortir et se loger dans sa couche.
Elle fut terriblement surprise, elle ne s'attendait pas du tout à ça !
Elle releva la tête, et à travers les verres de ses fines lunettes s'aperçut que personne ne lui prêtait d'attention dans la salle d'attente, pourtant elle, ne savait plus où se mettre ! Elle était là assise avec un gros caca sous ses fesses, au milieu de pleins de gens qui ne se doutaient pourtant de rien. Linda n'osait plus bouger, elle fit alors tomber un stylo à ses pieds, pour rester naturelle elle fut donc obligée de le ramasser.
Au moment où elle se baissa puis se réinstalla, elle éprouva un plaisir et une sensation hors du commun, elle trouva toute de suite son siège plus confortable. Son gros tas qu'elle avait sous les fesses s'était étalé et Linda trouvait alors cette sensation extraordinaire ! Elle commença alors à bouger de droite à gauche tout doucement et appréciait le fait de sentir ce quelque chose en plus dans sa couche bien chaud qui s'étalait sous ses petites fesse déjà rembourrées. Elle appréciait cette étrange sensation. Elle était terriblement bien assise, elle ne voulu que cet instant ne s'arrête jamais. Elle s'amusait à décoller ses fesses de son siège et à se rasseoir ensuite doucement afin que son gros colombin s'aplatisse dans le fond de sa couche. Elle qui n'avait jamais ressenti ce genre de plaisir était fière de ce qu'elle venait de découvrir.
Bien installée dans son caca, elle continuait à travailler comme si de rien n'était. Elle était persuadée que personne ne pouvait se douter de l'état dans lequel elle se trouvait. C'est alors qu'elle commença à se rendre compte de l'odeur qui commençait à se dégager de dessous le bureau. "Je n'ai pas pensé à ça !" se dit-elle, "Il va falloir que j'évite de remuer afin de limiter l'effluve de cet air légèrement nauséabonde."
A part ce petit problème, elle se sentait bien, si bien que la fin de la journée se passa très vite. Au moment de partir, elle se leva tout doucement de sa chaise, puis commença à ranger ses affaires, curieusement elle ne sentait plus la même sensation qu'en début d'après midi, il est vrai que la contenance de sa couche n'était plus aussi tiède. Elle rehaussa alors sa couche-culotte afin de mieux ressentir la matière dans laquelle elle baignait. Elle sentit alors l'aspect moelleux mais froid qui se compressait toujours contre sa grande fente. "Même froid, ce n'est pas si désagréable." se dit-elle.
Elle rentra alors chez elle avec un large sourire aux lèvres, en adaptant une démarche adéquate à sa situation : jambes légèrement écartées et très petits pas.
Une fois chez elle, elle sentit que l'odeur qu'elle dégageait était de plus en plus forte, mais cela ne la dérangeait pas. Linda se dirigea tout de même dans sa salle de bain car elle voulait à présent se sentir propre. Elle dégrafa les languettes auto-collantes de sa couche et la laissa tomber par terre. "Ah , ce n'est pas aussi beau à voir qu'à ressentir !" s'exclama t-elle. Elle regarda alors ses fesses à travers le grand miroir de sa salle de bain. Elles étaient clairsemées de jolies taches brunes plus ou moins grosses, sur toute la surface. "Bon, à la douche !"
Une fois dans son lit, elle repensait à tout ce qu'elle venait de tester durant ces quelques jours, elle avait à moitié honte d'elle et était à moitié satisfaite d'avoir découvert ce nouveau plaisir. Elle s'endormit sans trop de difficultés
Au réveil, elle n'avait plus qu'une hâte, se préparer pour aller travailler. Elle remit donc une large couche mais ne pu remettre sa longue jupe de la veille qui était encore imprégnée de son odeur fécale. La jeune secrétaire n'avait qu'une jupe longue. "Tant pis," se dit elle, "j'essaierai de faire attention avec cette jupe plus courte. De toute façon je reste assise derrière mon bureau, donc personne ne peut voir que je porte une couche !"
Elle arriva au cabinet en même temps que le docteur. Celui-ci la regardait d'une drôle de façon, Linda compris que son derrière rembourré était assez visible. Le docteur lui dit sèchement :
-
"Vous avez grossi des fesses mademoiselle Linda, ou vous nous cachez quelque chose en dessous cette jupe ?" Linda devint toute rouge et n'arriva pas à parler, puis elle dit tout simplement au docteur qu'elle avait de petits problèmes urinaires et elle souleva sa jupe pour lui montrer qu'elle portait une couche. Le docteur répondit :
-
"A votre âge cela me semble un peu bizarre, voulez-vous que je vous consulte ?" - "Non ça ira," rétorqua Linda, "je vous remercie, cela va s'arranger tout seul, cela m'arrive par période." inventa-t-elle.
Puis ils se séparèrent dans la salle d'attente. Linda pensa alors qu'il valait mieux que ce soit un docteur qui sache qu'elle portait des couches plutôt qu'un proche. Elle s'installa et commença sa journée de travail. Elle fit un petit pipi en milieu de matinée, histoire de se sentir bien à l'aise dans sa couche. A midi elle décida de garder sa couche qui n'avait pas trop été mise à l'épreuve durant la matinée.
En début d'après midi, Linda sentit arriver une envie de faire caca . Sans aucun complexe, elle poussa naturellement et sa grosse masse chaude sortit sans trop de résistances pour finir dans le fond de sa couche. Elle avait adoré sentir son caca sortir doucement d'entre ses fesses, puis surtout le fait qu'il trouve une place dans sa couche en lui caressant le bas des fesses. C'était divin. Elle s'amusait alors à écarter et resserrer ses jambes tout en effectuant des mouvements de bas en haut avec ses hanches. La masse chaude et moelleuse se pétrifiait au grés de ses inlassables va et vient. Plus elle remuait plus elle sentait l'orgasme arriver, avec sa main droite, elle se caressait à travers la couche, elle la compressait afin de mieux ressentir le contenu de celle-ci.
Le téléphone sonna d'un coup, Linda repris aussitôt ses esprits et répondit. "Heureusement qu'il vient de sonner," se dit-elle, "sinon j'aurais sans doute jouis devant tout le monde, il faudrait que j'arrive à me contrôler !"
Vers 16h, alors que la salle d'attente était encore bien remplie, Linda sentit soudain une envie pressante de faire pipi. Elle ne réfléchit pas longtemps, et se laissa aller dans sa couche déjà bien garnie. Elle goûtait alors une toute nouvelle sensation, elle sentait son pipi couler dans sa couche et réchauffer son caca déjà bien étalé. Après avoir fini d'uriner, Linda n'était plus elle même, elle éprouvait un plaisir immense à être assise dans son tas d'e x c r é m e n t s devenu plus modelable par l'effet de son doux pipi chaud. Elle sentait sa couche bien remplie prête à déborder, toutes les parties de son corps recouvertes par la couche étaient en contact avec cette délicieuse bouillis. Linda avait la sensation d'être dans un rêve.
"C'est vraiment exquis !"
Elle passa tout le reste de l'après midi collé à son siège, ne voulant se séparer de ce plaisir d'être à l'aise dans son caca devenu tendre et crémeux.
Après que le dernier patient fut parti, le docteur entra dans la salle d'attente et se dirigea vers Linda :
-
"Suivez moi dans mon cabinet, j'ai le temps de vous ausculter à propos de votre petit problème." Linda releva la tête, et répondit au docteur :
-
"Ce n'est pas la peine et en plus je suis pressée." - "Ne vous inquiétez pas, il n'y en aura pas pour longtemps."
Linda savait qu'elle devait à tout prix éviter de suivre le docteur, en effet que penserait-il en découvrant qu'elle faisait également caca dans ses couches ! Elle était très mal à l'aise, le docteur ne voulait pas la lâcher et lui ordonna presque de rentrer dans son cabinet. Si bien qu'au bout de cinq minutes de résistances, la jeune fille blonde, langée comme un gros bébé, fut obligée de suivre et d'accepter la consultation du docteur.
Tout ce qu'elle espérait maintenant c'est qu'il ne lui pose que des questions afin d'identifier une quelconque maladie, mais elle redoutait qu'il lui demande de se déshabiller.
Elle se leva donc de son siège, et se dirigea doucement dans le cabinet, elle sentait sa couche collée à son derrière et était focalisée sur le bruit de celle ci au fur et à mesure de sa progression. Son seul souhait à présent était de rentrer chez elle au plus vite et de prendre un bon bain.
Le docteur commença a lui poser quelques questions :
- "Quand cela a t-il commencé ? Quelle quantité de liquide s'écoute-t-il ?
A quelle fréquence ce problème apparaît-il ?" Linda inventa toutes sortes de réponses afin que le docteur puisse diagnostiquer des troubles urinaires. Linda était de plus en plus mal à l'aise, elle supportait moins sa couche toute souillée, surtout lorsqu'elle s'était rassise sur le fauteuil en face du docteur. Elle crut que le contenu de sa couche avait débordé.
Puis elle entendit le docteur dire :
-
"Déshabillez-vous, je vais vous ausculter." Linda faillit tomber dans les pommes, puis bégaya :
-
"Il y a un petit problème, docteur, je porte en ce moment une couche, et je crois qu'elle est... heu... vous voyez quoi ?" - "Ce n'est rien, mademoiselle Linda, j'ai l'habitude vous savez ! Vous n'avez qu'à prendre ces lingettes pour bébés afin de vous nettoyez un peu."
Linda voulut que ce calvaire finisse. Puis après quelques mûres réflexions, elle se dit : "Tant pis pour lui, il n'avait qu'à m'écouter !" Linda baissa sa jupe, elle était debout avec sa couche face au docteur. Elle sentait sa couche lourde et puante, elle la décrocha et son change tomba aussi sec entre ses deux pieds. Ce n'était pas très beau à voir, la couche était remplie à ras bord d'un monticule de crottes réparties sur toute la longueur, une puanteur s'échappait de cet objet si fascinant aux yeux de Linda.
Le docteur n'en croyait pas ses yeux, il resta d'abord bloqué, bouche bée, puis il dit :
- "C'est plus grave que ce que je prévoyais ! Ecoutez mademoiselle Linda, nettoyez-vous et rhabillez-vous, il faudrait faire des analyses plus poussées à la clinique, je vais vous indiquer un spécialiste, vous n'aurez qu'à prendre rendez-vous."
Linda repris sa couche sale et sans réfléchir, poussée pas un désir intérieur, se la refixa autour de la taille, remis sa jupe et s'en alla sans dire un mot. Le docteur était resté figé face à ce qu'il venait de voir.
Linda, elle, était merveilleusement bien, elle était contente d'avoir retrouvé sa couche sale, et sentait une grande joie de vivre en elle.
Maintenant, elle s'en fichait, n'importe qui pouvait remarquer qu'elle portait une couche sale, pour elle ça lui était égal. Elle était bien comme ça et puis c'est tout, du moment qu'elle sentait sa couche bien remplie contre ses fesses, il ne pouvait rien lui arriver, elle était sur son petit nuage et souhaitait y rester toute sa vie.
Caneton
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